Mes produits

Le croissant Made in France

Mon produit-phare : le café-croissant

Bistromobile proposera plusieurs cafés arabica torréfiés sur Paris par une brûlerie parisienne, et, si possible, dans l’arrondissement de mon emplacement. Ce café sera issu du commerce équitable. Ce torréfacteur deviendra un fournisseur référent pour une gamme de prix oscillant entre 20 euros et 30 euros le kilo.

Une offre parisienne qui répond aux attentes des touristes

Pour rester cohérent avec l’idée originelle de mon concept, je souhaite proposer un café expresso arabica, de 7 cl. Ce café reprendra le goût, la saveur, et les codes des cafés que l’on retrouve dans les cafés parisiens. Il pourra être servi avec un nuage de lait, afin de reproduire le “noisette”. Il sera vendu 1,8 euro, et 2 euros pour ce dernier. Pour satisfaire la demande variée de ma clientèle principalement touristique, je proposerai également un café plus léger allongé de 15 cl., également dans des contenants recyclés et facilement transportables. Le prix sera adapté et montera à euros.

Autres boissons chaudes 

Je proposerai également une gamme de thé et de tisanes ainsi que du chocolat au lait. La machine à café que j’ai choisie le permet. Les prix seront de 2,5 euros.

Boissons fraîches

 La demande de consommation évolue en fonction de la météo. Durant les mois d’été, je proposerai aussi des boissons rafraîchissantes comme de l’eau de Perrier, de l’eau minérale, de la limonade et une gamme de boissons gazeuse ainsi que des sirops. L’idée étant toujours d’être en cohérence avec le concept de brasserie ambulante et de coller à l’image d’un moment de détente à la française. Les tarifs tourneront entre 2 à 3 euros.

Les formules 

Mon projet est de proposer des douceurs à manger en accompagnement des boissons. Je vais donc vendre aussi une gamme de viennoiseries et de pâtisseries. La vente de café et de viennoiserie devrait s’opérer principalement dans la matinée et jusqu’en début d’après-midi.

•  Matin : Croissant, madeleines 
• Midi et après-midi : éclairs, macarons, cookies. Cependant, ces derniers seront disponibles à la vente dès la matinée. 

La formule Café-croissant : 3 euros 

Je vais proposer une formule café-croissant. Cette viennoiserie fait partie de l’attente des touristes qui visitent Paris. Cela me permettra aussi d’augmenter le ticket moyen par client. Les viennoiseries seront fabriquées et fournies par un artisan-boulanger parisien tous les matins. J’ambitionne d’en vendre une pour trois cafés vendus dans la matinée.

 La formule Café-éclair : 4 euros 

Il ressort de mon étude que l’éclair est aussi un produit plébiscité par les touristes étrangers. En conséquence, mon boulanger me fournira aussi des éclairs artisanaux. La gamme se composera d’éclairs au chocolat et au café et pourra se développer. J’ambitionne d’en vendre une pour cinq cafés vendus dans l’après-midi.

 La formule Café-Macaron : 4 euros 

Au même titre que l’éclair, le macaron symbolise l’art de vivre et la pâtisserie française. On pense évidemment à la marque Ladurée comme référence mais cette renommée va plus loin, avec notamment la présence de ces petites douceurs dans le film Marie-Antoinette de Sofia Coppola. La formule

Café-Madeleine : 3 euros 

La madeleine fait aussi partie des ces pâtisseries plébiscitées par les touristes. Faciles à transporter et à conserver.

 

La formule Café-Brownies, cookies et muffins : 4 euros 

Bistromobile proposera enfin une gamme de pâtisseries à l’américaine du type cookies, muffins et brownies. Ces pâtisseries se sont introduits ces dernières années dans les vitrines des boulangers parisiens. On trouve même de plus en plus des magasins spécialisés. Pour les touristes étrangers occidentaux, elles offrent l’occasion de retrouver une douceur qui rappelle leur pays.

Services complémentaires gratuits 

Bistromobile se prévaut d’une élégance à la française tout en s’inscrivant dans l’ère du temps. Ainsi, il répondra à d’autres besoins, plus contemporains, avec des services utiles et gratuits.

La presse accessible en ligne 

Je tiens à rend hommage à mon métier de journaliste en donnant à mes clients la possibilité de lire la presse. Des tablettes électroniques seront ainsi mises à disposition de mes clients, pour leur permettre de lire la presse internationale. Une façon maligne et contemporaine de permettre à mes clients de prendre des nouvelles de leur pays. Dans ce cadre, des partenariats sont envisagés avec l’hebdomadaire de référence, “Courrier International”, avec un site internet qui proposera une sélection d’articles par pays, avec la maison de presse internationale de Paris.

Du Wifi en libre accès 

Les clients pourront aussi accéder à leur messagerie directement depuis leur téléphone mobile avec un accès libre à Internet. Un service bienvenu car les prix des connexions Internet quand on voyage restent encore très prohibitifs pour de nombreux étrangers.

 Recharger son portable 

Les clients pourront aussi recharger leur portable pendant qu’ils prendront leur consommation.

 

Photo souvenirs 

Je réfléchis à une offre permettant aux touristes de se prendre en photos déguisés en “Titi parisien” avec baguette sous le bras et béret sur la tête. La photo serait imprimée sur place, vendue et/ou envoyée gratuitement sur leurs emails. L’idée est séduisante par son côté instantané et elle est très en vogue dans d’autres grandes capitales. Souvenirs estampillés Bistromo

Les objectifs de Bistromobile

Un projet pilote pour la Mairie de Paris

Je souhaite faire de mon projet le pilote référent pour la Mairie de Paris sur les activités ambulantes de vente à emporter. Ce type d’activité connaît un regain d’intérêt de la part de plusieurs acteurs sur ce marché, notamment les Food Trucks mais aussi de grandes marques qui souhaitent se positionner sur le domaine public. Je propose donc à la mairie de travailler de concert avec elle en rendant compte de façon régulière de mon activité auprès d’un référant. Je pourrai ainsi tester différents emplacements, proposer plusieurs services auprès de ma clientèle.

Vide-grenier dans le 14e arr.

Un lien social et de proximité au niveau de l’arrondissement

Mon ambition est de développer une activité en accord avec les arrondissements où se situera mes emplacements, et sans froisser les commerçants situés à proximité. Au contraire, mon offre serait complémentaire et, de par la mobilité de mon triporteur, elle permettrait de répondre de façon ponctuelle à des attentes locales. Par exemple, je pourrais être présent lors de vide-greniers ou autres manifestations organisées par la mairie d’arrondissement. Mon triporteur peut aussi servir de point relais ou de zone d’information culturelle.

Dimensions données à l’entreprise

Plus qu’un simple espace de restauration à emporter, je souhaite développer un concept, un univers, une marque. La forme du triporteur, la tenue du serveur, le sourire, les renseignements, le quiz historique, la provenance des produits, les services complémentaires sont autant d’éléments pour que l’expérience client ne se résume pas un simple achat de café-croissant. Bistromobile a pour vocation d’être la référence et le pilote des cafés triporteurs parisiens. Après la première année d’exercice, et si possible avant, j’estime atteindre un chiffre d’affaires suffisant pour salarier une personne dès la 2e année d’activité En accord avec la mairie de Paris, mon objectif est de multiplier les points de vente pour créer de l’emploi et de lien social. J’envisage aussi des partenariats avec des fournisseurs sur le marché des produits souvenirs en cohérence avec ma marque. Plusieurs partenariats sont envisagés au niveau des produits vendus ou de la tenue du garçon de café qui peut être l’occasion d’un partenariat avec une marque de vêtements qui rejoindrait l’image de mon entreprise.

Vision à plus long terme

Le développement de Bistromobile va se faire en trois étapes :

1. Ouverture d’autres emplacements accordés par la mairie qui aura compris l’intérêt et la pertinence de mon projet pour les touristes et les Parisiens.
2. Ouvrir des triporteurs Bistromobile sur d’autres lieux touristiques en France, en nom propre ou sous la forme de franchises. Les bistromobiles parisiens serviront de référence et d’exemple auprès des autres municipalités. 
3. Exporter le concept du café parisien dans les grandes métropoles européennes et mondiales, la réputation du café croissant à la française étant acquise

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Les contraintes du projet

Paris sous la pluie

Plusieurs enquêtes de terrains et les interviews auprès de professionnels du secteur ainsi que des décisionnaires m’ont permis de bien identifier les contraintes du projet :

 L’importance de l’emplacement. Sur une même place, le passage des touristes peut énormément varier à quelques mètres près. La viabilité de ce type d’activité est dépendante du passage de clients potentiels à proximité. 

 La difficulté et le temps d’attente dans l’obtention d’une autorisation d’activité sur le domaine public, délivré par la Mairie de Paris. Cet élément me motive à travailler de concert et de façon coordonnée avec cette dernière, afin de bien saisir ses attentes et d’y répondre. 

 Un environnement parfois hostile et bruyant. Si par exemple, la place de la Concorde est traversée toute la journée par un flux ininterrompu de voitures, ce n’est pas le cas du parvis de Notre-Dame ou de la basilique de Montmartre, ni du pont des Arts. 

•  La météo parisienne, 
loin d'être toujours favorable à une activité en plein air. Le touriste reste en moyenne 2,5 jours sur la capitale et il ne va pas annuler son programme à cause du mauvais temps. Pour autant, il sera moins enclin à s’arrêter, sauf si on répond à ses attentes à savoir une pause récréative avec une boisson chaude de qualité, une viennoiserie de qualité, la possibilité de s’abriter… Et un sourire ! 

 Une clientèle qui ne reviendra pas dans le cas des touristes. Pour cela, des partenariats avec des guides étrangers permettra de retrouver la personne contact. Par ailleurs, une clientèle parisienne est aussi ciblée, en fonction de l’emplacement. 

Je suis conscient des difficultés du métier-projet et je les ai prises en compte dans son développement.

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Mes atouts par rapport à ce projet

Mon départ de CCM-Benchmark à l’été 2014 m’offre la possibilité d’apporter un tournant à ma carrière professionnelle en réalisant ce projet qui cumule trois de mes objectifs de vie : partager ma passion pour Paris, aller à la rencontre des autres et travailler en extérieur.

Au contact des touristes, je pourrais partager ma passion pour la capitale avec ceux qui ont parcouru parfois plusieurs milliers de kilomètres pour la découvrir.
 Mon ambition est aussi de donner une image à la fois dynamique et enthousiaste de Paris à des touristes parfois malmenés.
 Lors de mes voyages, de Ouagadougou à Bangkok en passant par New York ou Marrakech, j’ai été impressionné par la simplicité et l’évidence de l’intérêt d’une nourriture de rue, sans barrière entre le visiteur et l’hôte.
 Cette proximité avec le client, l’échange généré et la facilité de contact que cela implique, tout cela correspond aujourd’hui à un nouveau mode de vie urbain, rapide, facile et de qualité. En cela, mon concept est dans l’ère du temps, pour les touristes comme pour la dynamique parisienne.

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La genèse de Bistromobile

L’idée de ce projet m’est venue en 2012 lors d’un séjour en Iran. Pendant ce voyage, entre les multiples visites culturelles proposées par la guide, je voulais me poser quelques minutes avec un café.  Mais, à mon grand regret, aucun vendeur n’était présent sur les places et monuments que nous visitions, ni à proximité de là où stationnait notre bus. Et notre emploi du temps ne nous permettait pas de nous arrêter dans un café.

De retour en France, je passais quotidiennement par la place de la Concorde. Je voyais des groupes descendre de leur bus, prendre leur photo en quelques minutes, et repartir sans avoir vraiment profiter de cet environnement exceptionnel. C’est là que j’ai constaté que des touristes présents sur la place vivaient la même chose que moi lors de mon voyage en Iran.

L’idée m’est alors apparue comme une évidence : il faudrait donner aux touristes la possibilité de profiter pleinement des monuments qu’ils visitent, en savourant un moment si parisien, et qu’ils ont en tête, un café-croissant. Une façon de mêler l’utile à l’agréable. Pour répondre à cette attente, j’ai imaginé un concept à la fois élégant et non-polluant, silencieux et qui se fond dans le paysage patrimonial qui l’environne.

Le triporteur m’a semblé être le moyen idéal : petit et léger, il se fond dans le paysage exceptionnel qui l’environne. Par son autonomie électrique, il respecte l’environnement dans un souci de développement durable. Son aspect mobile rejoint les déambulations des touristes en visite et, par son concept et ses emplacements, il ne fait concurrence à aucun café ou brasserie, inexistants à proximité des lieux répertoriés sur la capitale.

De par la culture parisienne, habituée à prendre un café, ce concept est aussi adapté aux Parisiens eux-même. Ainsi, Bistromobile pourrait se retrouver à la sortie des métros, sur des places ou des boulevards passants comme sur des hauts-lieux touristiques.

Ci-dessus, le triporteur Bistromobile sur le Pont des Arts, un lieu où se retrouvent touristes et Parisiens.

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Qui suis-je ? Alexandre Bardyguine, fondateur de Bistromobile

Alexandre Bardyguine

Qui suis-je...?

En perso

Vous ne trouverez que peu de choses sur le web concernant ma vie personnelle. Je vous livre ici quelques éléments de mon parcours qui explique en partie ma personnalité.

J’ai eu une double chance dans mon enfance : celle de naître à Paris et de passer mon enfance à l’étranger. J’ai grandi en Afrique de l’âge de 3 à 9 ans, plus précisément à Douala au Cameroun (Ecole Dominique Savio) et à La Marsa en Tunisie (école Caillou). Une opportunité grâce à laquelle j'ai pu découvrir très tôt d’autres cultures.

En 1981, à l'école Dominique Savio. Saurez-vous me retrouver ?

Je suis juste en dessous de la prof.

Depuis mon retour à Paris à l’âge de 10 ans, je n’ai eu de cesse d’explorer la ville. De là est née une passion qui ne m’a plus quitté depuis. 
Mes métiers de journalistes et de communicant m'ont permis d'assouvir ma soif de curiosité et qui ont nourri Bistromobile.

Bistromobile, un défi fonctionnel

J'ai toujours aimé relever des défis et celui de Bistromobile est de taille. 
Sortir de terre un triporteur qui soit à la fois élégant et fonctionnel, y installer une machine à café professionnelle capable de débiter plusieurs centaines de tasses à l'heure, exploitable par tout temps, en intérieur comme en extérieur, tout cela ne s'improvise pas.
On ne devient pas expert en café en sept jours. Il faut du temps. Pour apprendre, pratiquer, essayer et aussi se tromper. 

Chez Bistromobile, la part d'inconnue a été de savoir comment faire fonctionner et alimenter en eau et en électricité une machine de 3000 watts sur un plateau de deux mètres de long pour un mètre de long. 

Des femmes passionnées

Cette aventure m'a amené à faire des rencontres formidables. Je pense à mes formateurs et fournisseurs de La Caféothèque et de Un grain décalé, avec Gloria Montenegro et Laura Plaineau, deux entrepreneuses réunies par une même passion, le café. 

Une expertise nécessaire

La famille Fernandez, installée dans un atelier près du marché de l'Olive à Paris 18e depuis plusieurs décennies, et représentante des machines Wega en France, a été une rencontre déterminante.

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